Taliouine est une petite commune de la province de Taroudant au charme atypique. La capitale du safran au Maroc est riche en paysages, activités et découvertes. Immersion.
Les petits producteurs ne disposant pas de capitaux économiques et culturels suffisants peinent à obtenir la labellisation de leurs produits. Ce dispositif renforce malgré lui les inégalités sociales, mais aussi territoriales.
L’association franco-marocaine Migration et développement, fondée sur la bonne volonté des Marocains venus travailler et vivre en France, va pouvoir continuer son œuvre de développement dans la région du Souss-Massa-Drâa grâce au 900 000 euros apportés par l’AFD pour les 3 ans à venir. Elle prévoit notamment de mettre en place un fonds d’initiative rural de 400 000 dirhams.
L’automne arrive au Maroc et avec lui la saison de la cueillette pour le safran. Dans son nouvel ouvrage «La route du safran», Michel Tarrier amoureux des paysages marocains, propose 3 itinéraires pour découvrir les safranières proches du Jbel Siroua.
Désormais pour acheter du safran, la ménagère marocaine pourra se rendre à Marjane. La commercialisation de l’or rouge se fera localement comme à l’étranger, sous un label, mais ce dernier ne résout cependant pas le problème de l’informel.
Les habitants de Taliouine se préparent actuellement à récolter l’or rouge du Maroc : le safran. La récolte commence dans quatre jours et durera une vingtaine de jours. Comment se récolte l’épice la plus chère au monde aux pieds des montagnes marocaines ? Explications.
Présidé par la Suisse, co-présidé par le Maroc et la France, le Forum global sur la migration et le développement (FGMD) a choisi cette année la région de Taliouine pour tenir ses travaux préparatoires à la 5ème édition. Suite aux trois jours de débats, de rencontres et de visites sur le terrain qui ont eu lieu du 20 au 22 septembre, une nouvelle vision du développement par les migrants, et donc de
Selon le journal suisse Le Nouvelliste, le safran de Taliouine serait l'un des meilleurs au monde. Pour decerner ce titre, Jean-Marc Pillet, biologiste suisse, amoureux et spécialiste de la culture du safran.