Dans un document publié par le Département d’Etat américain, le consulat général des Etats-Unis à Casablanca dresse un diagnostic du climat des affaires au Maroc à destination des entreprises américaines. L’occasion de revenir sur les atouts du royaume, sa législation et les incitations, tout comme certaines lacunes.
La Banque africaine de développement explique que le Maroc et les pays subsahariens commercent plus difficilement entre eux qu'avec les pays européens et asiatiques, entre autres. Détails.
La Chine et l’Inde restent les principaux pays où la propriété intellectuelle américaine est mise à l’épreuve. Mais l’Administration Obama a décidé de ratisser large et prévoit de renforcer la protection de ses innovations et créations dans tous les pays auxquels elle est notamment liée par un accord de libre-échange, dont le Maroc.
Deux informations parues côté européen laissent penser que le Maroc profite généreusement des accords de libre échange avec l’UE et prend en parallèle des mesures protectionnistes. Yabiladi change de point de vue et corrige les faits.
Les négociations sur l’accord de libre-échange approfondi et global entre le Maroc et l’Union européenne (UE) n’ont pas encore abouti, mais un expert européen se veut porteur de bonne nouvelle pour le royaume. D’après son analyse, le protocole biparti permettrait au gouvernement chérifien de gagner 1% du PIB annuel. Une évaluation très alléchante pour le Maroc, mais déclarée erronée
Un accord de libre-échange global avec le Maroc est l’objectif annoncé par la Commission européenne. Bruxelles entend, également, octroyer des facilités d’accès aux étudiants et aux investisseurs à l’espace des Vingt-sept.