L’initiative de la Chambre des représentants de consacrer des minutes de solidarité avec la Palestine est une nouvelle fois tombée dans la récupération politicienne. Le PJD et le PAM à la manoeuvre.
Depuis une semaine, la polémique enfle. Le Groupe d’action national pour le soutien à la Palestine et l’Observatoire marocain contre la normalisation ont révélé l’existence d’un institut israélien de formation sécuritaire au Maroc, faisant ainsi réagir la justice.
Une ONG marocaine a mis en garde contre l' «instrumentalisation» de la constitution dans des actions de normalisation avec Israël. Explications.
Invitée par le ministère israélien des Affaires étrangères, une délégation de neuf journalistes arabes dont cinq marocains s’est récemment rendue à Tel Aviv. Le ministère palestinien de l’Information réagit en appelant l’Union des journalistes arabes à prendre des mesures coercitives.
Après le festival Tanjazz, les militants anti-normalisation avec Israël ont mis le cap sur le prochain congrès de l’Istiqlal. Une cible qui surprend alors qu'ils s'étaient montrés silencieux à l’occasion de la Hiloula de Rabbi Haïm Pinto à Essaouira.
La visite d'une délégation marocaine, il y a quelques jours, en Israël et ses rencontres avec des responsables de l'Etat hébreux est au cœur d’une polémique au Maroc. Les détracteurs des membres de cette délégation vont jusqu’au point de les accuser de «trahison» et de «conspiration». Avec l’annonce du retour de ces membres au Maroc, l'avocat Khalid Sefiani, coordinateur du Groupe
Sept journalistes marocains se sont rendus en Israël. Un déplacement révélé au grand public par le quotidien «Yediot Aharonot». La délégation marocaine a remercié ses hôtes évoquant les risques d’«intimidation», les «menaces», «le bannissement» et la «perte d’emploi» qui guettent ceux et celles qui normalisent avec le pays ou adoptent des positions
Le gouvernement marocain s’accroche à récuser toute normalisation commerciale avec Israël. Par la voie de son ministre délégué au Commerce de l’extérieur, l’exécutif attribue l’entrée de produits israéliens au sein du royaume à la «contrebande». Une version qui n’a pas convaincue l’opposition.
Officiellement l’Algérie continue de soutenir le Polisario. Néanmoins, des signaux officieux de rejet de cette politique sont exprimés publiquement depuis quelques semaines par des proches de Said Bouteflika. Louisa Hanoune se présente désormais comme la porte-parole du groupe.