Après les voyages déclarés et ceux en catimini de Marocains en Israël, des militants amazighs annoncent la création de «l’Observatoire marocain de lutte contre l’antisémitisme». Une association qui offre ses services aux nationaux qui souhaitent se rendre dans l’Etat hébreu et aux juifs marocains résidents dans ce pays qui programment des voyages au Maroc.
La menace de la publication de la «liste» des Marocains qui ont visité Israël s’est révélé être un pétard mouillé. Les amis d’Ahmed Ouihmane ont bien sorti une liste, mais il se s'agissait que d'un simple bricolage peu sérieux et sans aucune véritable révélation. Explication.
Les associations marocaines hostiles à Israël viennent de franchir un seuil dans leur combat contre les partisans de la normalisation avec cet Etat. Ils demandent au gouvernement Benkirane d’accuser tout visiteur de Tel-Aviv d’«intelligence avec l’ennemi».
Plus d’un mois après la rencontre à Tunis, entre le prince Moulay Rachid et Ali Larijani, le président du parlement iranien, des médias marocains se disent confiants en la reprise des relations diplomatiques entre les deux pays. Explications.
Une délégation israélienne a participé, à Tanger, à une réunion des élus de la région euro-méditerranéenne, en présence de deux ministres du gouvernement Benkirane. Un événement qui n’a pas attiré sur lui la foudre des antis-normalisation.
Alors que des centaines de personnes ont manifesté, mardi 18 février à Tanger, contre une exposition de photos de juifs du nord du Maroc, à Rabat se tenait une conférence scientifique à laquelle participaient des Israéliens. Mais cette dernière n’a pas suscité la moindre réaction dans les rangs des antis-normalisation avec Israël.
A Tanger, une exposition photo sur les juifs séfarades du nord du Maroc est à l'origine d'une manifestation anti-normalisation avec Israël. L’intervention de la police a pu garantir le déroulement de l’événement. Mais l’exposition programmée jusqu'au 14 mars à l'institut Cervantes pourra-t-elle aller à son terme ?
La mobilisation du clan des anti-normalisation avec Israël continue, traquant toute présence d’Israéliens à des rencontres organisées au Maroc. Ils viennent d'ailleurs d'épingler une artiste de l’Etat juif participant à la Biennale de Marrakech, prévu du 23 février au 30 mars. Un festival placé, pourtant, sous le haut patronage du roi Mohammed VI.
L’AMDH ouvre un front contre le gouvernement des Pays-Bas. Ce n’est pas la réduction des allocations des retraités marocains et leur ayant droit qui est en cause. Mais l’association marocaine a souhaité riposter aux déclarations du ministre néerlandais des Affaires étrangères, très hostiles aux fameux projets parlementaires criminalisant la normalisation avec Israël.
L’affaire de la blague raciste d’Abouzaïd continue d’alimenter l’actualité. Après la décision du Chef du gouvernement d’interdire la diffusion télé des «Droits d’informer» des conseillers, voilà que Mustapha Ramid, en sa qualité de chef du parquet général, a ordonné l'audition du député PJD et la mise sous surveillance de ses téléphones.