L’administration Biden se montre prudente à l’heure d’aborder les concessions faites par Donald Trump pour encourager la paix entre des Etats arabes, dont le Maroc, et Israël. En vue de cette zone grise, une vingtaine de sénateurs recommandent d’accompagner financièrement ce processus.
Lors d’un entretien téléphonique, Joe Biden a réitéré «le soutien américain à la récente normalisation des relations entre Israël et les pays dans le mot arabe et musulman», dont le Maroc.