Le Fonds monétaire international (FMI) a confirmé que le Maroc avait fait de grands progrès vers le renforcement de son économie ces dernières années. Dans ses prévisions de croissance économique pour les prochaines années, l’agence onusienne indique même une reprise progressive.
Si les Marocains résidant à l’étranger (MRE) constituent une véritable richesse en termes de compétentes, celle-ci profitent peu au développement national, au vu des défis auxquels se confronte la mise en œuvre des politiques de l’Etat. Dans un récent rapport, le Haut-Commissariat au plan (HCP) analyse cette question.
Dans son dernier Rapport national sur la population et le développement, le Haut-Commissariat au Plan consacre un chapitre à l’immigration au Maroc. D’après ses constats, une profonde réforme s’impose pour permettre aux migrants un large accès aux services publics, afin de les intégrer aux dynamiques économiques du pays.
A l’occasion du 60e anniversaire de la création des premières entreprises publiques du Maroc post-indépendance, la Fondation Abderrahim Bouabid remet en question le modèle de développement «entre hier et aujourd’hui», fil rouge d’un contrat social qui doit être repensé.
Après deux bonnes saisons agricoles qui ont eu un impact positif sur les indices de développement, l’économie nationale devrait fléchir en 2019 en raison du ralentissement des activités économiques. C’est ce qu’indique le Haut-commissariat au plan (HCP) qui prévoit, par ailleurs, un scénario moyen pour l’année 2020.