Presse et télévision française font de plus en plus écho de la mobilisation du Maroc dans la lutte contre la propagation du coronavirus, notamment par sa prise de mesures barrière en augmentant sa production de masques de protection.
Dans le rapport annuel sur la liberté de la presse élaboré par Reporters sans frontières (RSF), le Maroc améliore son score et son classement mondial. L’ONG internationale pointe toutefois un «harcèlement judiciaire» des journalistes, qui se poursuit dans un contexte mitigé au Maghreb et dans la région MENA.
Après avoir convaincu 80% des salariés de signer un avenant à leurs contrats de travail, le groupe présidé par Moncef Belkhayat a fait appel au code du travail pour réduire le temps de travail et donc les salaires pour ceux qui se sont opposés à cette mesure. Si la démarche qualifiée d’«arbitraire» et décriée par le SNPM, le PDG du groupe n'en démord pas, il se dit prêt à
La presse marocaine est aux abois. Le covid-19 a infecté un secteur déjà immunodéprimé avec de nombreuses maladies chroniques. L’occasion de revoir tout l’archaïque système de subventions publiques qui entretient l’immobilisme.
Cette semaine, la décision prise par Horizon Press, éditant entre autres le journal Les Ecos et LeSiteInfo, a créé une mini tempête au sein du groupe. Si certains journalistes et le PDG, Moncef Belkhayat, évoquent un «consentement mutuel», d’autres fustigent une mesure «illégale» et un «timing» douteux.