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Luisa* a écrit:
Tu as une photo pour voir a quoi elle ressemble cette femme 100coeur??
Parceque moi j'en ai peut-être une ?
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Enaya a écrit:
Sava Antigone et kwami i va bien mon pti chaton, j'ai pas trop bien saisi ici je peut raconter tout ce que je veut ? Ou je doit inventer un scénario d'entrée dans le café avec les yabi comme on a pu voir plus haut
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Antigone 3.0 a écrit:
Ça va alhamdoulillah, et toi tu vas bien ?
Kwami fait sa princesse, elle ne veut pas passer par la chatière, mademoiselle exige qu'on lui ouvre la porte
À la base on raconte un truc qui se passe au yabi café, mais tu peux sortir des clous, c'est open ici... Laisse aller ton imagination...
Tu peux aussi nous rejoindre dans notre quête du collier de Jade
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Mia** a écrit:
""Cesse de dire n'importe quoi Antigone, me réprimande Mia... Cherchons plutôt un indice pour trouver le collier de jade.""
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LePaysan76 a écrit:
C’est alors, qu’en s’approchant un peu plus de la cheminée, Mia remarque comme une empreinte de blason sur le côté de la cheminée, Antigone, éclaire un peu plus l’endroit tout en s’approchant, et me regarde, ses yeux sont rivés en direction de mon torse, en effet, je porte un médaillon, il appartenait à mes ancêtres, il représente une charrue tirée par un boeuf…Mia dit alors en me regardant,
- ton médaillon doit forcément avoir quelque chose avec cette empreinte, peux tu me le donner stp ou le placer toi même directement sur l’empreinte ?
j’ai ôté mon médaillon, et je l’ai directement mis sur l’empreinte, il y correspondait bien, c’est alors qu’une trappe s’est ouverte dans l'âtre, libérant un petit coffre en bronze scellé. Antigone, se demandait comment nous allions pouvoir ouvrir ce coffre, Mia s’est empressée de retirer son épingle à cheveux, libérant ainsi une longue chevelure, allant jusqu’aux reins, je n’avais jamais vu, d’aussi longs cheveux lisses, j’étais comme hypnotisé… Antigone m’a pincé la joue afin de me sortir de mes rêves et m’a demandé d’aider Mia à sortir le coffre pendant qu’elle nous éclairait
Mia, n’a pas perdu de temps, et avec son doigté de fée et un savoir faire, elle a vite ouvert le coffret, nous avons trouvé ce fameux collier, une flûte et un manuscrit que Antigone s’est empressée de lire à haute voix
Bravo, si vous avez réussi à trouver ce coffret, c’est que le grand jour est arrivé, et que parmi vous se trouve le descendant des gardiens du pendentif de jade, il y a une flûte enchantée qui permette d’endormir le loup à qui appartient ce collier, il suffit juste de jouer ces quelques notes présentes et le loup viendra à vous pour vous câliner et ainsi s’endormir auprès de vous, vous n’aurez plus qu’à lui enfiler le collier et ainsi reprendra sa forme humaine…
Mia, nous a dit qu’elle savait très bien jouer de la flûte, et que les notes étaient très simples, j’en avais la chair de poule, nous avons aussitôt rejoint la sortie en empruntant une des portes se trouvant derrière nous, la sortie était moins compliquée, Antigone et moi, suivions Mia d’un pas reculé, nous avions un peu peur du loup, Mia semblait plus courageuse, je l’observait marcher avec sa longue chevelure, Antigone a bien remarqué mon regard, elle dit alors à Mia : attache tes cheveux, on ne sait jamais si tu te prends une branche ...alala, le langage des femmes, elles utilisent toujours un codé, une phrase qui a du sens mais qui veut dire autre chose … faut être une femme pour utiliser un tel langage…
Mia se met maintenant à jouer de la flûte, c’est tout simplement magnifique… elle nous a enchanté, nous étions restés figés, sans peur nous observions le loup s’approcher à petits pas vers nous, il nous a jeté un regard doux, plus doux qu’un animal innocent, il s’est dirigé ensuite vers Mia qui n’est s’est pas arrêté de jouer de la flûte, arrivé à sa hauteur, il lui a fait un câlin, heureux de retrouver la personne de confiance, et tellement confiant, il s’est allongé auprès de mia, pour enfin s’endormir…
mélodie
Mia n’a pas hésité un instant, elle a pris le collier et lui a enfilé autour de son cou, à ce moment là, la lune s’est assombrie, nous laissant dans un noir total, quand tout d’un coup, un éclair verdâtre frappa le pendentif transformant alors le loup en une magnifique femme, elle semblait nue sous sa longue chevelure noir et lisse comme de la soie, Antigone m’a suggéré de rentrer dans le café yabi afin de s’occuper de cette femme venue de nulle part..
LePaysan76
A suivre...
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CaWCaW..KiLLeR a écrit:
Il est glauque se bar
Une biere sivouplait
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CaWCaW..KiLLeR a écrit:
Il est glauque se bar
Une biere sivouplait
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Antigone 3.0 a écrit:
Bienvenu au yabi café, nous ne servons que des bières sans alcool.
Vous êtes invité à nous raconter votre histoire, agent CawCaw
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CaWCaW..KiLLeR a écrit:
Biere sans alcool beurkkkk
Je rentre dans le yabikawa... deja drole d impression ils m avez l air tous coupable (deformation professionel)...
Je regarde un peu autour de moi et j ecoute un peu c est braves gens discuter. La serveuse arrive et me dit ici pas de biere, donc j lui dit whisky glace svp.... elle fait signe a 3 molosses qui me sortent manu militari du café
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Jade* a écrit:
Comme chaque vendredi soir, les lieux sont bondés, ça discute, ça s’enflamme, ça tente de comprendre péniblement, en tâtonnant; mais parfois, on le constate de façon affligeante, c’est peine perdue, chacun dans son coin essaye de trouver une réponse ajustée à ses envies, pour panser son égo et satisfaire son humeur, un vrai langage de sourds. Quel drôle de lieu, les verres à thé serrés ou allongés, trinquent dans le brouhaha qui s’élève des lieux, des éclats de voix, parfois trop fortes éclatent dans un bruit désagréable et assourdissant.
Je les contemple longuement échanger entre eux, me sentant étrangère et décalée des lieux, ce soir je ne vais pas y arriver, je ne suis pas dedans, j’ai beau écouter, lire et relire, l’esprit n’y est pas et le cœur encore moins. L’atmosphère me parait maussade et tout à coup étouffante, il me manque une lumière, quelque chose de différent et d’insolite, une lueur qui se démarque, ne la voyant pas, je décide de sortir …
Fuir…. Loin des lueurs orangées du Yabi café, respirer l’air glacial de cette soirée d’hiver à plein poumon, brûlant la gorge et courir sans s’arrêter à la recherche d’un lieu de paix, le sommet d’une colline, baignée par le clair de lune, habitée comme je suis par l’esprit sauvage et indépendant du loup, le lieu semble approprié.
De là, la ville s’étend sous mes yeux, ses lumières comme des constellations terrestres, forment des dizaines de combinaisons, éclairant une nuit d’une noirceur d’encre. Le cœur n’y est vraiment pas. Je me demande ce que je fuis en réalité, un lieu ou moi-même ? car il me semble que le mal-être m’a suivi, et me colle à la peau. Je ressens une tristesse profonde, et l’impression de percevoir tous les malheurs du monde sans pouvoir y changer quoique soit. Les guerres, la misère, l’injustice, tout remonte à la surface pour narguer ma sensibilité.
Je décide de marcher au gré des sentiers, errant sans but, laissant la nuit happer mes pensées, les emportant loin dans l’ombre de ses nuages nocturnes …