Après cinq mois de mobilisation intense pour réussir la campagne nationale de vaccination contre le nouveau coronavirus et presque deux ans de participation en première ligne de front contre la propagation du virus, les infirmiers ne décolèrent pas. L’agression d’une de leurs collègues et d’un étudiant bénévole dans un centre de vaccination a été la goutte qui a fait déborder le vase.
Il y a tout juste une semaine, une enquête du HCP révélait l’insatisfaction des Marocains quant aux services de santé. Aujourd’hui, ce sont les médecins qui montent à la charge contre le gouvernement et revendiquent un meilleur traitement.