Les conclusions du CNDH concernant les procès Raissouni et Radi ont surtout insisté sur la diffamation des victimes.
Jusqu’en 2020, les violences contre les femmes restent la violation des droits humains la plus répandue au Maroc et la moins impunie. Le Conseil national des droits de l’Homme appelle dans son dernier rapport annuel à rattraper les retards accumulés dans la lutte contre ces violences.
Evitant de pointer directement du doigt les violations des droits de l’Homme au Maroc, dans son rapport 2020, le Département d’Etat américain s'est caché derrière les ONG nationales et internationales.