Le 2 mars 1956 acte officiellement la fin du protectorat français au royaume. Pendant le règne de Mohammed V, en sa qualité de roi du Maroc libre et de sultan, la fête de l’indépendance était célébrée à cette date. C'est sous Hassan II qu’il y a eu le changement qui prévaut encore aujourd’hui malgré des tentatives d’honorer ce jour en 2011.
Après l’indépendance du Maroc, le royaume appelait à l’annexion de la Mauritanie, encore sous colonisation française, dans un discours du roi Mohammed V le 25 février 1958 à M’Hamid El Ghizlane. Un discours qui évoquait clairement la subordination du pays de Chenguit, une revendication adoptée également par le parti de l’Istiqlal.
La bataille a duré près de 42 jours après plusieurs tentatives destinées à soumettre les Ait Atta et contrôler Bougafer. Retour sur un affrontement lors duquel les combattants marocains ont fait montre de la détermination de tout un peuple en refusant de rendre les armes et en luttant par tous les moyens contre les forces coloniales. Histoire.
La génèse de la Fête du trône au Maroc remonte à 1933, lorsque l’écrivain algérien Mohamed Ben Saleh Maysa, qui vivait dans le pays, en a eu l’idée.
Le 27 janvier 1975 ans, le Maroc adressait un mémorandum au comité spécial de décolonisation de l’ONU pour demander le retrait de l’Espagne de Ceuta, Melilla, des Îles Chafarines et du Rocher de Badis.
Né en 1877, au centre de la France, Jean Épinat saura construire, plus tard, au Maroc sous le protectorat français, un empire économique. Il s’appuie, en cela, sur le pacha Glaoui et le résidant général Hubert Lyautey, entre autres, pour étendre son conglomérat économique.
Le 11 janvier marque la publication du Manifeste de l’indépendance, soumis en 1944 au Protectorat français pour exiger la fin de la présence coloniale au Maroc. Malika El Fassi est la seule femme à signer le document, parmi plus de 60 acteurs politiques et syndicaux de la résistance.
Pendant la Première et Seconde Guerre mondiale, nombreux furent les soldats allemands à être répartis dans des camps répartis à travers le Maroc. Celui de Ouarzazate fut certainement l’un des plus rudes en termes de conditions de vie.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les juifs marocains n'étaient pas à l'abri des lois nazies discriminatoires à leur encontre. Le gouvernement de Vichy, fidèle à Hitler, a même tenté de les exclure de la vie culturelle, intellectuelle et politique, en incitant le sultan Mohammed Ben Youssef à ratifier des lois contre les personnes de confession juive.
En plus de son célèbre tableau «Scene at Marrakech, circa 1935» qui sera mis aux enchères, pour la première fois, en mars prochain, l’ancien premier ministre britannique Winston Churchill, a dédié à la ville ocre trois autres œuvres artistiques, tous peints durant ses séjours à Marrakech.