Le soutien de la France à l’Espagne pour vaincre les forces d’Abdelkrim El Khattabi en 1925, quatre année après la victoire des Rifains à la bataille d’Anoual, est connu. Mais bien avant cette date, Paris avait mis le savoir-faire de son industrie d’armement au service de l’armée de son voisin du sud, malmenée dans le nord du Maroc. En 1909, le premier véhicule blindé militaire espagnol de fabrication
Yabiladi vous propose un saut dans le passé, au temps des vizirs et de leurs palaces à couper le souffle. Immersion dans le palais Dar Jamaï à Meknès.
Après avoir été vaincue par les États-Unis, l'Espagne avait décidé de se débarrasser de ses colonies. Ainsi, en 1898, les Espagnols envisageaient sérieusement de «vendre» une partie du Sahara à l'Empire austro-hongrois. Histoire.
Cette année, le tramway reliant la capitale Rabat à Salé et mis en service le 23 mai 2011, fêtera son anniversaire. Mais contrairement à ce que certains pensent, il ne s’agit pas du tout premier tramway au Maroc. En 1917, la capitale administrative du Maroc disposait déjà de ce même mode de transport. Histoire.
Le 28 avril 1912, le gouvernement français nommait Louis Hubert Lyautey premier commissaire résident général du protectorat français au Maroc. Une fonction qu’il commencera en mai 1912 et assurera jusqu’en septembre 1925. Icône du protectorat et figure de proue du Maroc contemporain, on lui doit notamment le transfert de la capitale administrative de Fès à Rabat sous le sultan Moulay Youssef.
La première forme officielle d’une «représentativité populaire» au Maroc date de 1905, du temps du sultan Moulay Abdelaziz. Et c’est la France qui, indirectement, est à l’origine de la création du «Conseil des notables». Cinquante ans plus tard, au lendemain de son indépendance (1956), le Maroc entreprendra une réelle ouverture sur la démocratie avec la mise en place de l’Assemblée
Le 10 avril 1947, le sultan Mohammed Ben Youssef se rendait à Tanger, en compagnie du prince héritier Moulay Hassan et de la princesse Lalla Aicha. L’occasion de prononcer un discours historique qui marquera la rupture entre la monarchie alaouite et la Résidence générale. Histoire.
Il y a un peu plus d’un siècle, l'empereur allemand Guillaume II débarquait à Tanger pour rencontrer le sultan Moulay Abdelaziz. Objectif ? Soutenir le royaume chérifien et faire barrage aux ambitions françaises au Maroc. Le jour-même, soit le 31 mars 1905, le troisième et dernier empereur allemand, mais également neuvième et dernier roi de Prusse, prononce un discours qui irrite la France mais aussi les autres puissances
Le 30 mars 1912, le sultan Moulay Abdelhafid, intronisé quelques années après l’abdication de Moulay Abdelaziz, signait à Fès le «Traité pour l'organisation du protectorat français dans l'empire chérifien». Un fait historique qui intervient après plusieurs années de manigances françaises pour écarter plusieurs pays européens avant de contrôler le Maroc. Histoire.
En 1934, alors qu’il agissait jusque-là dans l’ombre, le Comité de l’action marocaine (CAM) sort de la clandestinité en présentant le Plan de réformes marocaines le 1er décembre. Un document, rédigé en septembre en arabe, est présenté dans sa version française au sultan Mohammed Ben Youssef, à la résidence générale ainsi qu’au ministère français des