Dans le second épisode de cette série historique, nous évoquons le rôle de Mohamed ben Abdelkrim el-Khattabi dans la genèse de l’Armée de libération marocaine, ainsi que les divergences entre lui et les représentants des partis politiques marocains dans le cadre du Comité de libération du Maghreb arabe.
Née au début des années 1950, l’armée de libération nationale mènera au Maroc le combat pour la libération du pays du protectorat français. Dans la première partie de cette série, zoom sur la création de l'ALN, en mettant l'accent sur la situation internationale qui prévalait à l'époque, caractérisée par la croissance des mouvements de libération dans de nombreux pays.
C’est aujourd’hui que le peuple mauritanien célèbre l’anniversaire de son indépendance de la France coloniale. Une indépendance que le Maroc ne reconnaitra que neuf ans plus tard. Bien avant le 28 novembre 1960, un bras de fer opposera la France coloniale au Maroc fraîchement indépendant. L’ancien colonisateur, ne souhaitant pas voir un Grand Maghreb ressuscité en Afrique du Nord, soutiendra l’indépendance de
Il a fallu des années à la France et à l’Espagne pour se mettre d’accord sur le partage du Maroc. Des négociations conclues le 27 novembre 1912 par la signature du traité de Madrid. Toutefois, ce résultat était menacé par l’entrée de nouveaux acteurs politiques qui voulaient à tout prix leur part du gâteau de «la question marocaine».
Le 26 novembre la ville de Salé est bombardée par la marine française. A l’origine, une histoire de vol de blé que les habitants de la ville ont commandité.
Le 13 novembre 1914, le colonel René Philippe Laverdure prend l’initiative d’attaquer le camp de Moha Ouhammou Zayani, installé à El Hri, à quelques kilomètres de Khénifra, occupée par la France coloniale. Une bataille durant laquelle les colonnes dépêchées pour mettre fin à la lutte acharnée du chef des Zayanes seront presque anéanties. Histoire.
Quelques jours seulement après l’exil du Sultan Mohammed Ben Youssef et la famille royale, le mouvement de la résistance nationale décide de passer à la vitesse supérieure, déclarant le début de la lutte armée contre le colonisateur français. Le 7 novembre 1953 et après une première opération de sabotage du train reliant Casablanca à Alger, deux résistants viseront à nouveau cette
Le 29 octobre 1956, Ahmed Balafrej, alors chef de la diplomatie marocaine ainsi que les représentants de plusieurs pays dont la France, l’Espagne et les Etats-Unis signaient la Déclaration finale de la Conférence internationale de Tanger. Un accord qui met fin au statut international de la ville du Détroit et marque son retour sous souveraineté marocaine.
En 1881, le sultan Moulay El Hassan instaure le «rial hassani» comme monnaie locale. Avec l'avènement de la protection française, le «rial» sera abandonné au profit du franc, qui sera à son tour abandonné au profit du dirham marocain, après la fin du protectorat français sur le Maroc. Retour sur une histoire sonnante et trébuchante.
Le 2 octobre 1955, l’Armée de libération nationale mènera sa première opération dans le Nord du Maroc contre les forces du protectorat. Durant deux jours, les résistants marocains réussiront à infliger d’importants dégâts matériels et humains et contrôler les montagnes au nord de Taza. L’armée se divisera ensuite en deux courants pour continuer à opérer dans le sud du royaume