C’est la guerre des images entre pro et anti-manifestations au Maroc. Après les premières attaques essuyées par les initiateurs du Mouvement du 20 février, voici venue l’heure des répliques. Cette fois, c’est la famille de la ministre de la Santé qui est directement visée. Des photos personelles de jeunes filles qui seraient les siennes sont mises en ligne par un portail arabophone. Il reste bien des efforts à faire vers
Les manifestations que connaît le Maroc depuis le 20 février sont loin de faire l’unanimité. Au niveau des couches populaires comme chez les acteurs associatifs engagés, les opposants au mouvement du 20 février ne manquent pas. Réda Taoujni, président de l’Association du Sahara Marocain (ASM) fait partie de ceux qui tirent à boulets rouges sur ces mouvements de protestation. Interview.
Abbas El Fassi serait-il en train de vivre ses dernières heures en tant que chef du gouvernement marocain ? En tout cas, la rumeur sur l’imminence de son éviction de la Primature ne cesse d’enfler. Des sources ministérielles nous confirment que même l'administration est dans l'expectative. Plusieurs noms de possibles successeurs circulent, et parmi eux, Mostafa Terrab, PDG de l'OCP.
L'USFP tente de se distinguer parmi les partis au gouvernement. Selon Ahmed Zaidi, l'USFP est restée neutre par rapport aux manifestations du 20 février. Un communiqué du parti appelle à des réformes constitutionnelles. L'USFP met ainsi en avant un revendication qu'il porte depuis longtemps et partage avec les jeunes du 20 février.
Depuis les violences en marge des manifestations du 20 février dans lesquelles 5 personnes ont notamment perdu la vie Al Hoceima, d'autres affrontements ont été signalés à travers le Maroc. Imzouren, Agadir, Khemisset, Sefrou... L'AMDH et d'autres sources comme Attac Maroc parlent de nombreuses arrestations, d'affrontements violents, et d'un mort.
Le mouvement du 20 février est visiblement toujours aussi mobilisé. C’est ce qui est ressorti des deux conférences de presse qui se sont tenues aujourd’hui à Casablanca et à Rabat. Y ont été annoncé de nouvelles manifestations, et la participation au Conseil de la ville de Casablanca le 25 février.
Mustapha Ramid, chef de file des députés parlementaires du Parti de la Justice et de la Vérité (PJD) et démissionnaire de son bureau politique persiste et signe : il soutient et continuera de soutenir les manifestations exigeant des réformes politiques au Maroc. Dans cette interview, il revient sur les raisons de sa démission de la plus haute instance de son parti et sur son avenir dans la formation de Benkirane. D’un ton franc et
Hier, le 20 février, nombre de citoyens sont sortis dans les rues pour exprimer leur malaise. Les images et les vidéos captées par les participants montrent la foule des manifestants. Ils sont estimés à quelques milliers, selon les uns, contre plusieurs centaines de milliers, selon les autres.
L’appel à manifester ce dimanche 20 février a trouvé un écho favorable dans plusieurs villes du Royaume, malgré la tentative de manipulation de la part des médias officiels hier qui parlait d'une annulation pure et simple. Plusieurs vidéos permettent de constater que le mouvement a été réellement suivi par les populations…
L’information a été confirmée ce samedi, Miloud Chaâbi, l’un des plus importants hommes d’affaire au Maroc, vient d’annoncer sa participation à la manifestation de demain à Rabat, avec son fils Faouzi Chaâbi. Le député à la chambre des représentants et président du Conseil de l'arrondissement de Souissi à Rabat a accepté de répondre, avec beaucoup de franchise comme