L’enregistrement de zones humides à l’échelle internationale, les lois réglementant l’activité près des espaces naturels protégés ou encore la police environnementale n’auront pas eu raison de projets immobiliers qui tuent ces sites à petit feu. C’est le cas à Kénitra, à travers l’exemple de la merja de Fouarat.
En dix ans, la zone humide du lac Daït Aoua a souffert de longs assèchements, principalement à cause d’une activité agricole massive, dans cette région connue pour sa production de pommes. Mais la situation de cette zone n’est pas un cas isolé parmi celles qui sont menacées de disparition au Maroc.