Alors que quatre présumés jihadistes ont été encore arrêtés jeudi à Marrakech et Laâyoune, dans le sud, le nord marocain reste aussi une zone où opèrent plusieurs réseaux de recrutement. Dans les quartiers pauvres de Tanger comme Béni Makada, à Nador et à Melilla, ces recruteurs emploient toutes sortes de moyens pour convaincre la jeunesse de partir faire le jihad. Les témoignages sur France
Une première. Les autorités locales de Tanger autorisent les chiites à célébrer la Achoura. Une autorisation qui n’est que la conséquence de l’émergence d’un nouvel ordre mondial dans lequel le chiisme n’est plus l’ennemi à abattre mais plutôt les salafistes «takfiristes» de Daesh.