Cinq jours après la reprise des relations entre le Maroc et Israël, Saad-Eddine El Othmani qualifie cette annonce d’ «ouverture», reconnaissant dans une interview accordée à Al Jazeera que parfois «les Etats sont forcés de prendre des décisions difficiles».
Militant pour la libération de la Palestine avant même qu’elle ne soit érigée en cause nationale, les formations de gauche ont eu des positions nuancées quant à la récente normalisation des relations entre le Maroc et Israël. Alors que la FGD et la Voie démocratique ont rejeté cette officialisation, l’USFP botte en touche.