A chaque annonce d’une nouvelle commande des Forces armées royales (FAR), c’est le branle-bas de combat en Espagne. Cette agitation est une constante de la politique espagnole. La sortie, de ce vendredi, de José Maria Aznar n'en est qu'un symptôme de plus.
Le chef du gouvernement espagnol a «réduit au minimum» ses explications sur sa politique à l'égard du Maroc, devant les députés de la Chambre des représentants, ce mercredi. Il n’a pas non plus répondu aux questions sur le limogeage d’Arancha Gonzalez Laya à la demande du Maroc.