En riposte à des «déclarations hostiles» au Maroc faites par le vice-président de la Commission européenne chargé de la Migration, Margaritis Schinas, Rabat a réaffirmé la marocanité de Ceuta et Melilla. Une précision qui a soulevé l’ire en Espagne.
A l'approche des élections en Espagne du 28 mai, la «fraude électorale» n’est plus circonscrite uniquement à Melilla. De présumés cas sont identifiés en Andalousie, Iles Canaries, Valence et Galicie. Les deux grandes formations politiques en Espagne (Parti populaire et PSOE) se rejettent la responsabilité.