Des agriculteurs, pour lesquels l’élevage de bétail constitue une source majeure de revenus, dénoncent la baisse des prix des bovins, ovins et caprins pour l'Aïd Al Adha, en raison de l'impact de la pandémie du coronavirus et du déficit pluviométrique.
Agriculteurs, éleveurs et Marocains s’inquiètent depuis quelques semaines de l’impact du déficit pluviométrique que connaît le royaume. Si la céréaliculture et l’élevage restent les secteurs les plus touchés, les autorités promettent de l’orge subventionnée et des indemnisations pour «soulager les agriculture».
Les éléveurs belges sont furieux contre le ministre belge du Bien-être animal. L'appel au boycott du sacrifice a été suivie en masse par la communauté musulmane ce qui se répercute sur le chiffre d'affaires des éléveurs qui se retrouvent avec beaucoup de bêtes invendues. Détails.
Après les veaux français, le Maroc se tourne vers l’Espagne pour répondre à la demande croissante de viande dans le pays. Un accord a été conclu entre le royaume et son voisin ibérique pour permettre à des opérateurs privés de la région des Asturies d’exporter au Maroc trois races bovines capables de s’adapter aux conditions climatiques du royaume. Détails.
L’Aïd El Kebir approche à grands pas. En France, la fête sera célébrée autour du 15 octobre prochain et verra le sacrifice rituel de milliers de moutons dans les abattoirs. Problème, dans les Alpes maritimes, le seul abattoir disponible ne pourrait accueillir que quelques 300 têtes. Les responsables musulmans appellent au boycott des éleveurs de la région qui n’ont fait aucun effort pour en mettre à disposition