Les services antiterroristes hongrois ont annoncé l’arrestation d’une jeune néerlandaise, qui voulait se rendre en Syrie, pour combattre dans les rangs du groupe Etat islamique. La jeune fille en question est d’origine marocaine.
Le Parlement européen étonne. Il ne tarde jamais à condamner toute violation des droits de l’Homme dans le monde. Mais quand les intérêts de l’UE risquent d’être mis en cause, il fait marche arrière. Dernières illustrations, le refus de ses députés de voter une résolution soutenant la révolution du peuple tunisien mais aussi celui de condamner la Hongrie pour une loi jugée liberticide