La plainte d’une Marocaine résidant en Espagne pour abus sexuel s’est retournée contre elle. Alors qu’elle avait accusé son chef de l’avoir abusé, l’enquête a démontré que les allégations étaient fausses. Aujourd’hui, c’est elle qui est confrontée à la justice pour denonciation calomnieuse et elle risque une amende de 5 000 euros.
Depuis la publication du rapport d’Amnesty international sur la torture mettant en cause le Maroc, le gouvernement a décidé de réagir en soumettant les allégations à des enquêtes. Mais celles-ci se finissent jusqu’à présent par l’arrestation des initiateurs des plaintes pour «dénonciation calomnieuse». Et parmi les victimes on retrouve deux membres du Mouvement du 20 Février, Oussama