Les choses se compliquent pour le président de l’Association des victimes de la spoliation. Alors que Mohamed Moutazakki était sur le point de retrouver sa liberté après la plainte pour «coups et blessures» dont il fait l’objet depuis la semaine dernière, il vient d’être incarcéré. Trois juges de la Cour d'appel de Casablanca ont porté plainte contre lui pour propos diffamatoires tenus