En France, les hommes nés de parents immigrés du Maroc, d’Algérie ou de Tunisie sont exposés 1,7 fois plus à la surmortalité que les populations non-migrantes. Ce sont les résultats d’une étude inédite de l’Institut national d’études démographiques (INED), qui évoque notamment l’impact des disparités sociales sur la qualité de vie et la santé des personnes.