Le parlement Egyptien examine actuellement une nouvelle loi controversée inspirée d’une fatwa du cheikh marocain Abdulbari Zemzmi que ce dernier avait émise en mai 2011. Ladite loi serait en passe d’être entérinée en Egypte et permettrait aux hommes d’entretenir des rapports sexuels avec les cadavres de leurs épouses.
Lors de son émission Nessbook, diffusée en Prime time sur la chaîne arabe Rotana Masriya, la célèbre journaliste Hala Sarhane a commis une erreur monumentale en prétendant que les Amazighs du Maroc revendiquent un Etat indépendant...au Sahara marocain!
A l’heure où le monde arabe se remet du printemps arabe plus que mouvementé de l’année 2011, les femmes lèvent leurs voix pour acquérir, elles aussi, des droits. Elles sont sorties manifester dans les rues, elles ont dénoncé leur manque de liberté, et ont même reçu des coups de matraque. Pourquoi les oublier ? Que revendiquent-elles ?
Du rap ikhwangi ( «frérot», pour «frère musulman») ??? Au moment d’en proposer l’écoute aux lecteurs de son blog, The Arabist, un homme aussi avisé qu’Issandr El Amrani ne peut s’empêcher de se demander s’il faut prendre la chose au premier ou au second degré ! Hommage sincère à la Confrérie ou plaisanterie, voire satire cruelle ?
La nouvelle année 2012 est vivement espérée par les bourses nord-africaines, qui enregistrent de lourdes pertes à la fin 2011. Si la palme d’or revient à l’Egypte, le Maroc n’est pas mieux loti.
Le classement 2011 du cabinet international Eduniversal, spécialisé dans le classement des établissements d’enseignement supérieur, a classé 5 écoles marocaines parmi les meilleures écoles de commerce du monde. Par ailleurs, le classement a révélé la bonne posture du Maroc dans l’enseignement supérieur, au niveau du continent africain, et du monde arabe.
Pour une fois, les pays arabes se sont mis d’accord pour… être d’accord. Alors que les Palestiniens sont en train de mettre les bouchées doubles pour faire reconnaitre la Palestine comme un état libre et à part entière auprès de l’ONU, quatre pays arabes ont décidé de donner un coup de pouce à l’économie palestinienne.