Bank Al Maghrib envisageait le projet en juin dernier. La banque centrale marocaine vient de le relancer en conférence de presse : le Maroc va revoir la composition de son panier de devises, dans le but d’amoindrir sa dépendance vis-à-vis de son premier partenaire économique à savoir l’UE. Si les raisons de fond d’une telle décision sont évoquées, l’économiste Najib Akesbi dénonce un «secret
La banque centrale du Maroc a décidé mardi d’abaisser son taux directeur à son plus bas historique. Une décision qui s’explique par la volonté de soutenir une croissance qui a du mal à décoller et encourager les entreprises «un peu attentistes» à reprendre leurs activités à travers la facilitation des conditions d’octroi de crédit.
Bank Al Maghrib a dévoilé, ce week-end, son rapport annuel au titre de l’année 2013. De manière générale, l’Institution retrace une année plutôt bonne sur le plan économique, mais note une hausse du taux de chômage et estime que le Maroc doit mener des actions «ciblées et cohérentes» pour garantir l’essor d’un véritable classe moyenne.
Le Haut-Commissariat au plan (HCP) vient de publier les comptes provisoires nationaux qui révèlent un taux de croissance de 4,4% en 2013, largement boosté par l’agriculture. Ces résultats confirment les prévisions faites l’an dernier par les institutions économiques et financières du royaume. Détails.
Le Maroc avait fait un premier essai de la finance islamique en autorisant, en 2007, la commercialisation par les banques classiques de certains produits financiers soumis à la charia. Mais l’expérience n’a pas été une réussite, en raison de la non-adhésion des Marocains. Du coup, le gouvernement espère ne pas revivre ce scénario une fois la nouvelle réglementation entrée en vigueur.
Le Maroc a récemment adopté la loi sur la finance islamique, autorisant ainsi les banques spécialisées à s’installer au royaume. Une opportunité que les pays du Golfe attendent impatiemment de saisir depuis longtemps. A plusieurs reprises, les autorités chérifiennes ont exprimé l’apport considérable que pourrait avoir ce type de finance dans l’économie nationale. Sans parler des sondages montrant
Bank Al Maghrib a réitéré, mardi, ses prévisions de croissance ainsi que celle de son taux directeur et conclu que le gouvernement Benkirane est capable de réduire le déficit cette année, comme prévu. La Banque a, en outre, passé en revue le nouveau système d’indexation sur les prix des carburants, estimant que, non seulement cela permettrait de dégager des grosses économies, mais aussi, son impact sur
Suite à l’annonce, la semaine dernière, de la prochaine mise en circulation des nouveaux billets de banque, la communauté amazighe réagit et réclame des inscriptions en langue berbère au même titre que l’arabe et le français. Le non-respect de la constitution deux ans après adoption est pointé du doigt.