Si vous êtes en villégiature dans le Nord du Maroc et qu’il vous prenait l’envie de passer, pour une petite journée, la frontière ô combien naturelle avec cette Espagne si proche, trop proche et visiter ainsi la ville de Sebta, armez-vous de patience et soyez cléments pour vos nerfs et surtout pas trop regardant sur votre dignité ! Voici ce qui vous arrivera.
Rêver d’un enfant de l’être aimé, quoi de plus naturel. On se marie pour vivre ensemble, tout partager, mais surtout pour fonder une famille. Mais lorsque concevoir un enfant devient difficile, voire impossible, le couple traverse une dure épreuve, d’autant plus que la famille s’en mêle…
Autrefois tabou, car elle traduisait immédiatement l’infertilité d’un couple considérée comme «hchouma», l’adoption a fait son chemin. Si, au sein de la société maghrébine en général et marocaine en particulier, elle se heurte encore à certaines conceptions traditionnelles, l’adoption est pleinement entrée dans les moeurs occidentales. Les Marocains résidant à
Une fois la procédure de kafala conclue et l’enfant confié à son nouveau tuteur, visa ou pas, la famille kafil quitte le territoire marocain et rejoint son pays de résidence. C’est le début d’une nouvelle vie : un couple trouve la joie d’être parent, l’enfant abandonné celle d’un nouveau foyer. Pourtant, les difficultés continuent sur le plan légal et aussi, parfois, affectif.
Lorsque le bon sens ne suffit pas, alors dire sa réprobation devient une nécessité et un acte citoyen. A l’approche de chaque échéance électorale en France la question de l’immigration s’invite et s’installe avec le lot habituel de mauvaise foi et autres instrumentalisations. Elle devient le lieu commun pour déverser ce qu’il y a de vil ou d’abject : le rejet, l’égoïsme et la xénophobie.