Après son rapport sur la liberté de presse, Freedom House vient de publier sa dernière note sur la liberté sur internet dans le monde et les nouvelles ne sont pas bonnes pour le Maroc. Le royaume perd des points et l’ONG américaine dénonce des limites sur le contenu des publications, ainsi que des violations des droits des utilisateurs.
Des journalistes auraient-ils été interdits de prendre des notes lors du tête-à-tête entre Joe Biden et le roi Mohammed VI au palais royal de Fès ? C’est en tout cas ce que révèle le président des correspondants de la Maison Blanche, Christi Parsons, qui juge «inacceptable» l’attitude de la sécurité du roi.
La publicité des boissons alcoolisées ne devrait pas subir d’interdiction. Le gouvernement dirigé par le PJD ne semble guère prêt à prendre une telle initiative. L’avant-projet de loi sur le code de la presse ne comporte pas de mesure de ce genre.
L’interview accordée par Abdelilah Benkirane au site du PJD ne devrait pas améliorer la relation entre lui et la presse. Le chef du gouvernement a estimé que des journalistes, sans citer de noms, connus pour leur hostilité aux fondements de la nation bénéficient de protection.
Au moment où la section d’Amnesty Maroc présentait le rapport d’AI sur la torture au Maroc, la Chambre basse du parlement marocain a connu une dispute entre l’Istiqlal et le PJD sur les libertés publiques. Détails.
Les Fashion Days de la honte. Voici comment l’on peut résumer l’humiliation dont certains confrères et consœurs ont fait l’objet le Jour-J de l’événement en tentant de récupérer le badge presse. Grande fut la surprise. Explications.
C’est un projet étonnant, mêlant des éléments du monde virtuel à la réalité. Mené par trois Marocains, dont un élève et un ingénieur de l’ENSA de Fès, «FPS Project» est une plateforme web basée sur le concept de la réalité augmentée, incluant notamment un réseau social et une application mobile. Détails.
Réuni hier à Bruxelles pour sa 11ème session, le conseil d’association Maroc-UE a demandé au royaume d’accélérer les réformes politiques et sociales déjà entreprises. Soucieux de mettre le Maroc dans le même train de développement que l’UE, le conseil qui a adopté le plan d’action pour la mise en oeuvre du statut avancé pour la période 2013 - 2017, a ainsi exhorté