Après la Belgique (Lotfi Chelbat), la Grande Bretagne (Saïd Essoulami), nous continuons notre tour du monde des opinions vis à vis du futur Conseil supérieur de la communauté marocaine à l'étranger avec une nouvelle étape en France. Najat Azmy, conseillère municipale, déléguée à l’Education et aux classes citoyennes, à la ville de Roubaix, s’exprime sur la création d’un Conseil, sur l’exercice de la citoyenneté au pluriel, sur son éventuel désir de participer à cette
Saïd Essoulami de nationalité marocco-britannique, est marié et père de trois enfants. Il a fait ses études universitaires en France puis a travaillé en Angleterre où il a contribué au lancement d'Article19, une ONG internationale intervenant dans la défense de la liberté d'expression dans le monde. Onze années durant, il a dirigé son antenne sur le moyen orient et l'Afrique du nord. En 1998, Saïd Essoulami a lancé à Londres le CMF MENA, un centre de recherche et de plaidoyer
Lotfi Chelbat, natif du Maroc, a élu domicile en Belgique, plus précisément à Bruxelles, depuis environ deux décennies où il dirige un cabinet d’expertise comptable. Il s’exprime sur la création d une instance dédiée aux MRE, sur l’exercice d une citoyenneté plurielle,… et sur son acte de candidature.
C’est demain, vendredi 26 octobre 2007 à Rabat, dans le cadre de la 28ème assemblée générale du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH), que la question des Marocains du monde et la création du Conseil supérieur dédié à la diaspora, sera débattu, ou plutôt présentée aux sociétaires de l’ONG.
Sans verser dans l'optimisme, il faut reconnaître qu'avec les législatives de 2002, le Maroc a gagné beaucoup en degré de crédibilité. Avec celles du 7 septembre dernier c'est plus qu'une confirmation, c'est le début d'un tournant politique qui place notre pays dans la voie de l'ancrage de l'alternance politique même si l'institution monarchique détient toujours l'essentiel des prérogatives.
Abdelhamid El Jamri, membre du Comité d’experts nommé par le CCDH, nous livre les premières tendances lourdes qui se dégagent des quatre consultations de la diaspora marocaine.
Un petit conte populaire arabe de l’époque (abbasside) des Mille et une Nuits, qui a traversé les siècles sans perdre ce côté fascinant et merveilleux qui le caractérise, nous raconte l’histoire d’une vieille lampe magique qui pouvait réaliser tous les rêves de celui qui la possédait. Il suffisait que les doigts de l’enfant Aladin la frottent pour qu’un génie apparaisse et lui propose d’exaucer tous ses désirs: « Maître, vous m'avez appelé, que désirez-vous ».
A deux mois de la passation de service entre Kofi Annan et le Sud Coréen Ban Ki Moon, et à quelques jours de la commémoration de la fameuse Marche Verte, où en est-on avec le dossier du Sahara ? Y a-t-il des espoirs de résolution définitive de ce conflit trentenaire ? Les récentes critiques formulées contre le Maroc accusé de violation des droits de l’Homme au Sahara, la rebuffade essuyée par des parlementaires européens voulant venir enquêter au Sahara, le retrait du drapeau
Le recours devant la Cour suprême de Rabat en 2002, assignant en justice le Premier Ministre de l’époque, Abderrahmane Youssoufi pour l’exclusion des marocains résidant à l’étranger (MRE) des élections, a ouvert une vaste offensive pour l’obtention du droit de vote. Cette offensive a été menée par le milieu associatif marocain à l’étranger pour l’essentiel. Les partis politiques ont encore une fois démontré leur incapacité à relayer les préoccupations citoyennes. La