Le ministère de la Culture ne peut miser sur ces établissements artistiques qui ne coûtent plus qu’ils ne rapportent. Faute de moyens, les collectivités locales s’inscrivent elles aussi dans cette même logique, alors que ces résidences pourraient impulser le tourisme local.
Au Maroc, la condamnation récente de l’association Racines à la dissolution a porté un coup au secteur culturel et artistique, déjà fragilisé par un manque d’investissement, aussi bien matériel que financier.