Une MRE se bat depuis trois ans pour récupérer son appartement à Casablanca des mains d'un Franco-turc qu'elle accuse de l'avoir spoliée. L’affaire désormais jugée au pénal, son avocat estime le dossier sur la bonne voie.
Depuis que le Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane a fait allusion aux appartements de Paris possédés par la députée istiqlalienne Yasmina Baddou, une guerre de déclarations s’est déclenchée. Accusations, démentis et sorties médiatiques sont devenus le pain quotidien du Marocain lambda.
Un ressortissant marocain de 55 ans est confronté à la justice belge pour le meurtre avec préméditation de son ex-femme perpétré en mars 2011. Le mis en cause qui a avoué son acte avait décidé d’expulser sa petite amie infidèle, qui logeait dans le même immeuble que son ex-femme, mais cette dernière était contre cette décision. Son procès se poursuit ce vendredi.
Nordine Serroukh n’en peut plus d’attendre, si bien qu’il a alerté la presse. Depuis plus d’un an et demi, ce MRE de France attend la livraison de son appartement acheté à Tanger dans le cadre du projet immobilier Dream Hills de la société Mayfair Developments. Malgré les sommes encaissées en guise d'acompte, le promoteur s’est retrouvé en difficulté financière et a depuis sombré dans la
A Casablanca, en Afrique du Nord, certains propriétaires d’appartements ou syndics refusent de louer aux «Africains». Un phénomène qui ne daterait pas d’aujourd’hui au Maroc, où de nombreux migrants subsahariens sont encore victimes de discrimination.