La justice espagnole continue d’instruire des cas de prétendus génocides au Sahara occidental et dans les camps de Tindouf, même si le parlement local en a décidé autrement. Hier, un magistrat a auditionné des polisariens présentés comme des «témoins» de l’affaire du charnier découvert il y a une année. Explications.
A la réunion du Conseil des droits de l’Homme, la question des Marocains expulsés d’Algérie sera débattue le 17 septembre. De la Suisse, le dossier atterrira en Espagne pour mettre au point les derniers préparatifs à la plainte que compte l’association ADEMA déposée devant l’Audience Nationale de Madrid contre Abdelaziz Bouteflika. Le périple de ses revendications se terminera à Bruxelles
Une semaine après l’arrestation de Daniel Galvan dans un hôtel de Murcie, l’avocat du pédophile indique que son client souffre de «problèmes mentaux» et réclame, en conséquence, de lui accorder des «circonstances atténuantes».
Le juge Baltazar Garzon avait, en 2008, accepté une plainte déposée par des membres du Polisario contre de hauts gradés de la sûreté au Maroc. Fin juillet 2013, un autre magistrat de l’Audience Nationale de Madrid décide d'ouvrir une enquêter contre cette fois deux responsables du Front accusés de «génocide». Le même juge devra instruire, dans les prochaines semaines, un autre dossier dans lequel 28
A moins d’un retrait de la nationalité espagnole à Daniel Galvan, le retour du pédophile dans sa cellule de la prison de Kénitra est impossible. Deux options s’offrent au Maroc : le juger de nouveau devant les tribunaux espagnols ou qu’il accomplisse le restant de sa peine en Espagne. Ce sont là les conclusions de la première réunion, tenue hier à Madrid, entre une délégation marocaine et ses hauts
Un Marocain, emprisonné à tort en Espagne pendant près de 9 ans, vient de se voir accorder 650 000 euros d’indemnisation de la part du ministère de la Justice espagnol. L’homme, condamné initialement à 13 ans de prison, avait été accusé de viol par une certaine Fatima. Détails.