Basée sur deux approches, l’étude diagnostique sur le mariage des mineurs au Maroc, dévoilée lundi par le ministère public, s’intéresse notamment aux facteurs socio-économiques et culturels, révélant qu’un pourcentage important de ces filles mineures, soumises à des violences, finissent par divorcer ou être expulsées du domicile conjugal.
La responsabilité directe des mineurs qui ont vandalisé les nouveaux bus de Casablanca ne saurait éluder celle, plus large, des parents, du système éducatif et de l'Etat en général.