Après l'indépendance du Maroc, le royaume avait refusé d'obtenir une compensation financière d'Israël pour ses waqfs à Al Qods. Rabat avait estimé qu’accepter une telle transaction serait une reconnaissance de l’Etat hébreux, ce qui était considéré comme une ligne rouge pour tous les pays arabes.
William Willshire était un célère diplomate du consulat d’Angleterre au Maroc au XIXe siècle. Sa double casquette de vice-consul et de marchand du sultan alaouite Moulay Abderrahmane lui permettent à cette époque de devenir un sauveur des captifs anglais et étrangers au Maroc auxquels il proposait, via un «office de rédemption de chrétiens de l’esclavage», toute aide possible dont ils avaient besoin. Histoire
Les drames d’aujourd’hui rappellent les cauchemars d’autrefois. Le Maroc a connu plusieurs inondations mortelles, dont une vingtaine survenue depuis 1995. Histoire.
Les relations du Maroc et les Etats d’Amérique du Sud restent méconnues du grand public. Dès le XIXè, voire même le XVIIIè siècle des liens forts se tissent entre les deux rives de l’Atlantique. Des liens qui n’auraient pu s’échafauder que depuis la ville de Tanger. Cet épisode aurait pu porter le nom de «Tanger, capitale diplomatique du Maroc depuis le XVIIIè siècle». Nous aborderont
Les héroïnes d’Al Andalous ont été oubliées de l’histoire. Pourtant, nombreuses sont les poétesses, les écrivaines et les guerrières qui ont changé le cours de l’histoire. Jamila est l’une d'entre elles. Belle, courageuse et maniant les armes comme personne, sa vie intrigue toujours.
Les relations du Maroc et les Etats d’Amérique du Sud restent méconnues du grand public. Dès le XIXè, voire même le XVIIIè siècle des liens forts se tissent entre les deux rives de l’Atlantique. Ce deuxième épisode abordera le rapprochement du Maroc et la République de Colombie et ce malgré l’ingérence espagnole, qui finira par anéantir les espoirs des colombiens.
Les relations entre le Maroc et les Etats d’Amérique du Sud restent méconnues du grand public. Pourtant, dès le XIXè, voire le XVIIIè siècle des liens forts se tissent entre les deux rives de l’Atlantique. Ce premier épisode portera sur les prémices des relations entre le Maroc et la République Colombienne de Simon Bolivar.
Dans son compte-rendu de 1820, un commerçant étranger à Mogador décrivit la peur, les ravages et les morts causées par la peste de 1799. Son écrit traitait de l’apparition, du pic et de la diminution de l’épidémie qui tua des milliers de personnes.
Avec la déclaration de l'établissement d'Israël en 1948, l'Union soviétique n'a pas tardé à reconnaître l’Etat sioniste, déclenchant une vague de reconnaissance des partis communistes du monde arabe qui s’étaient démarqués du consensus sur la question palestinienne et justifiaient la décision soviétique, à l’instar du Parti communiste marocain.
En 1862, les autorités marocaines interpelèrent deux diplomates confédérés qui s’étaient rendus à Tanger. L’opération fut diligentée par le consul américain James DeLong, qui mit en détention les deux hommes avant de les renvoyer à Boston, en violation du principe de la neutralité du Maroc.