Le mouvement officiel de solidarité avec les Palestiniens s’est invité hier soir à la Chambre des représentants. Une réunion marquée par l’exhumation de vieilles propositions de loi pénalisant la normalisation avec Israël, et par des protestations de parlementaires réclamant que le communiqué final comporte «Al Qods capitale de l’Etat palestinien» et non seulement Jérusalem-Est.
En 2012, le Maroc a connu l’émergence de leaders populistes propulsés à la tête de partis politiques. Une manœuvre destinée à circonscrire l’influence de Benkirane. Cinq ans plus tard, le PJdiste et Hamid Chabat ont été contraints de céder leurs postes. Seul Ilyas El Omari fait encore de la résistance.
Après avoir échoué à obtenir un second mandat à la tête de l’Istiqlal, Hamid Chabat s’est mis en retrait de la scène politique marocaine. Entretien avec l’ex-secrétaire général de la Balance.
Après une accalmie passagère sur l'opposition PJD-PAM, voilà que reprennent les hostilités. Cette fois c’est la politisation des succès des Lions de l’Atlas et du WAC qui ont mis le feu à la poudrière. Même l’Istiqlal, pourtant classé dans l’opposition au même titre que le PAM, a pointé son artillerie en direction des positions du Tracteur.
En limogeant quatre ministres, le roi Mohammed VI a provoqué un séisme politique. D'après Noureddine Mediane, président du groupe de l’Istiqlal à la Chambre des représentants, d’autres responsables devraient être déchus de leurs fonctions. Détails.
Deux jours après la décision du roi Mohammed VI de limoger des ministres et d’en sanctionner d’autres, Lahcen Haddad a réagi. L’ex-ministre du Tourisme a défendu son bilan, soulignant qu’il «n’a rien à se reprocher». Dans un enregistrement audio, le député de l’Istiqlal a renvoyé la balle dans le camp de l’Office national marocain du tourisme et le ministère de l’Economie
Après seulement six mois d'existence, le cabinet El Othmani devra connaitre son premier remaniement ministériel. L’Istiqlal de Nizar Baraka marquera-t-il son retour au gouvernement après trois ans passés dans les rangs de l’opposition au détriment d’un PPS en disgrâce ?