Abdou Chougrani a été arrêté le 27 mai dernier en application d’un mandat d’arrêt lancé contre lui le 13 mai sur l’ensemble du territoire nationale. Six mois plus tard, le président de l’association «Ressalis progressistes» est condamné à un an de prison ferme. Un procès dans lequel s’affrontent deux versions diamétralement opposées.