Moins d’un mois après l’accident des mines de charbon à Jerada ayant fait deux morts parmi les ouvriers, un puits de plomb s’est effondré hier en fin de journée, à une cinquantaine de kilomètres de la ville. Il s’agit là aussi d’une carrière exploitée dans la clandestinité totale.
A Jerada, plus de 2.000 familles sont privées de revenus. Après le drame du 22 décembre, les bénéficiaires de licences d’exploitation et de commercialisation du produit ont cessé de «commander» aux jeunes l’extraction de charbon.
En l’absence d’un dialogue avec les manifestants, Jerada a connu ce mercredi une intervention policière pour disperser une marche. Ce qui n'a pas empêché les autorités locales d'inviter au dialogue l’association locale des diplômés sans emploi. Une offre rejetée, apprend-on d’une source dans la ville.
L’accord de juillet 2001, scellant la fermeture définitive de la mine de Jerada, prévoyait un développement de la ville. Seize ans plus tard, l’objectif est loin d’être atteint. Pour échapper à la précarité, des jeunes sans emploi meurent chaque année dans l’extraction du charbon dans des conditions difficiles. Mais cette fois, le drame qui a couté la vie à deux frères a tourné
Pierre spéciale très prisée à l’étranger de par ses caractéristiques, l’améthyste marocaine est l’une des plus récentes variétés du quartz violet découverte au Maroc. Elle avait fait l’objet d’une étude de l’Institut américain de gemmologie sur ses particularités, sa découverte et sa commercialisation. Découverte il y a environ 40 ans et