Les actes de racisme se multiplient à Tanger. Il y a deux semaines à Boukhalef, des Subsahariens -dont une majorité de femmes et d'enfants- étaient victimes d'agressions commises par des jeunes. Cette fois, la tension a monté d'un cran. Aux premières heures de ce matin, un Marocain a égorgé un Sénégalais à l'arme blanche. En l'espace de neuf mois, c'est le deuxième décès de Subsahariens dans la
Il n’y a pas que Gaza qui mobilise les Marocains. Des amazighs marquent leur solidarité avec les mozabites de Ghardaïa par un sit-in devant le consulat d’Algérie à Casablanca. Mais l’option de l’interdiction de l’action par les autorités n’est pas à écarter.
Immédiatement après l’assassinat d’un étudiant du PJD, le gouvernement Benkirane réagit en donnant son feu vert à l’intervention des forces de l’ordre dans les enceintes même des universités. Une mesure que défend Mustapha El Khalfi, le ministre de la Communication. Elle devrait se traduire par un retour de la «garde universitaire», un corps de la police chargé de surveiller les mouvements des
Une nouvelle campagne contre les violences faites aux femmes marocaines a été lancée ce mercredi à Rabat. Intitulée «Aucune tolérance à la violence contre les femmes», cette campagne a été élaborée par un collectif d’ONG nommé «La Force des femmes».
Après les violences, le calme semble avoir repris le dessus ce lundi à Trappes, dans les Yvelines, où un contrôle d’identité ayant visé une femme intégralement voilée avait dégénéré. Pour «contenir la situation», un fort déploiement policier a été mis en place autour et à l’intérieur de cette commune, située à une trentaine de
Les violences perpétrées jeudi dernier à Casablanca, avant et après le match ayant opposé les FAR de Rabat au Raja de Casablanca, ont relancé la polémique sur le projet de délocalisation du stade Mohammed V du centre de la métropole. Lassée par des scènes de terreur répétitives, une partie des Casablancais réclame la fermeture immédiate de l’établissement.
Des drames qui se trament dans l'intimité des familles marocaines et qui parfois, bruitent et se trouvent au devant de la scène, comme "fait divers", mais qui n'en est plus un. La maltraitance des petites filles employées de maison au Maroc, car c'est de celà qu'il s'agit, est devenu quotidienne, et à chaque fois, c'est l'indignation totale très vite disparue.