De parents marocains installés à Bruxelles, Rayane Bensaghir a grandi avec une passion pour le football, qui le mène à faire ses premiers pas dans le milieu professionnel, avant de tracer une toute autre trajectoire de vie. Auteur d’un premier roman qui a connu un franc succès depuis juin, il propose de célébrer les histoires de réussite issues des quartiers, comme un pied de nez à la conception condescendante du «talent
Très jeune, Hajar Azell est submergée par un émerveillement que lui procurent à la fois les livres et l’océan. A Harhoura, elle grandit en se laissant inspirer par le sentiment de liberté que ces deux éléments lui apportent. Deux sources d’inspiration qui sont désormais le fil d’ariane de l’écrivaine confirmée qu’elle est devenue, juste après «L’envers de
«Big Data Djihad : comment j’ai détruit internet et sauvé le monde», est le cinquième roman de Hicham Lasri. Le livre de science-fiction, diatribe endiablée, raconte l’histoire d’un génie qui sort d’une relation avec une influenceuse et qui se retrouve seul. Pour se venger, il décide de détruire internet. Interview
«Le fou allié du diable» est le premier ouvrage de Rayane Bensaghir. L’auteur met les petits plats dans les grands, créant avec brio un roman à la mécanique implacable. La descente aux enfers d’un jeune bruxellois en désamour suit fatalement son cours, dans un récit sans tabou qui donne à chaque fois une raison d’espérer. Mais la trajectoire du personnage est déjà scellée.
«L’envers de l’été» (éd. Gallimard) est désormais le premier roman de l’écrivaine franco-marocaine Hajar Azell, consultante en démocratie participative, diplômée en philosophie et en commerce. Finaliste des prix Voix d’Afriques et Senghor du premier roman, cet opus philosophique et concret à la fois questionne la notion de l’entre-deux et des héritages mémoriels,
La psychologue franco-marocaine Touria Arab-Leblondel participe pour la première fois au Salon international de l’édition et du livre (SIEL) en tant qu’auteure. Dans le cadre des activités du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) lors de ce rendez-vous, elle a présenté son roman, un livre de jeunesse qui se lit de 7 à 77 ans. «Hana Thierry, les hirondelles et autres noms