Présenté il y a cinq semaines, le projet de loi concernant la protection des dénonciateurs et témoins de corruption a été validé hier par la commission de la justice et de la législation de la chambre des représentants. Un texte sujet à controverse : Transparency Maroc avait dénoncé l’«insuffisance» et le «caractère trompeur de son énoncé». Malgré cela,
Ayant entre autres, dénoncé des pratiques de corruption impliquant des haut-gradés de la gendarmerie royale marocaine, 7 agents sont actuellement maintenus en détention. En attendant leur jugement, leur cause a mobilisé plusieurs associations de défense des droits humains.
Pendant que la presse marocaine débat sur la supposée fin du Mouvement du 20 Février, sa «récupération» par les extrêmistes de droite et de gauche, plusieurs milliers de manifestants ont investi, dimanche 12 juin, les rues dans plusieurs villes du Maroc. Les images.
Transparency Maroc va enfin décerner le prix de l’intégrité 2010 ce mardi, à Casablanca. Cette manifestation a été refusée à quatre reprises par les autorités pour divers motifs. Chakib Khyari, militant des droits de l’homme en sera le recipidiendaire.
Le roi Mohammed VI est-il entouré de corrompus ? Un de ses plus proches amis, Fouad El Himma en tout cas, est cité aujourd’hui dans une affaire de corruption. Il s’agit d’un contrat conclu entre l’ONE et son cabinet de consulting, en totale violation des règles d’octroi des marchés publics, rapporte le quotidien arabophone «Al Massae».
Face à un paysage politique où être jeune c’est avoir environ 50 ans, les rappeurs sont devenus les porte-paroles d’une génération qui ne se sent plus impliquée dans l’avenir du Maroc. Si beaucoup connaissaient Bigg El Khasser pour son côté bad boy sur-joué, d’autres jeunes artistes, bien plus doués au niveau de leurs textes, sont en train d’émerger. Ils n’ont pas attendu les
Transparency Maroc (TM) se dit déterminée à organiser la cérémonie de remise des prix de l’intégrité malgré les trois interdictions dont elle a fait l’objet. Des interdictions de «l’administration» que l’association de lutte contre la corruption considère comme une «décision politique» au «caractère abusif et patent».
Pour avoir repris dans leurs colonnes des informations publiées par WikiLeaks, certaines éditions de journaux étrangers, dont très récemment Le Monde, ont été interdites d’entrée au Maroc. La raison avancée par les autorités marocaines est le caractère diffamatoire des informations publiées. Chose surprenante, les informations de WikiLeaks semblent moins «diffamatoires» lorsqu’elles sont
Le journal espagnol El País, partenaire de WikiLeaks, a publié jeudi 2 décembre une note du consulat américain de Casablanca décrivant certaines pratiques frauduleuses dans l'immobilier au Maroc. Selon cette note, «contrairement à ce que l'on pourrait croire, la corruption dans le secteur de l'immobilier n'a pas diminué, mais elle s'est davantage généralisée pendant le règne du roi Mohamed VI.»
Un câble diplomatique daté du 4 août 2008 et provenant de l’ambassade américaine à Rabat, a été rendu public par Wikileaks et El Pais. Il y a de nombreux éléments qui ne sont pas nouveaux. Thomas Riley, ambassadeur des Etats-Unis au Maroc de 2003 à 2009 est longuement revenu sur la coopération exemplaire entre les armées des deux pays. Mais il insiste également sur la corruption au sein de