Les chiffres sur la mendicité sont accablants. Moins d'un point de vue quantitatif que dans la sphère comportementale des protagonistes. On les retrouve partout : Feux rouges, entrée des mosquées, écoles, restaurants, bus. Certains vont même jusqu'à user du porte à porte. Les techniques, elles, sont tout aussi variées. Difficile donc dans ce contexte d'établir la part des choses, d'autant plus que les histoires de mendiants millionnaires ne manquent pas.
De plus en plus de Marocains Résidant à l’Etranger (MRE) sont tentés d’adopter un enfant du "bled", notamment les couples qui n’arrivent pas à avoir d’enfants. Cependant, il faut savoir qu’au niveau international, l’adoption et la kafala sont incompatibles, ce qui pose d’importantes tracasseries administratives, dont les enfants sont les premières victimes.
Au bord de la route, les enfants vous proposent les fruits de saison servis avec un large sourire, grand comme un jour de fête : régalez-vous !
Ils ont moins de 14 ans et pourtant ils vivent déjà dans le monde des « grands ». Ces petits mécaniciens, maroquiniers, soudeurs, vendeurs, laveurs de vitres, menuisiers ou domestiques travaillent aussi dur que les adultes, des fois plus longtemps et sont souvent très mal payés. Quelles sont leurs conditions ? Le système fournit-il vraiment assez d’efforts pour protéger ces victimes des carnassiers du capitalisme ? Et qu’en disent les ministères concernés?
Rabat, lundi 19 février 2007. La mouture du projet de loi sur la réforme du code la nationalité, tant attendu sur les bords des deux rives, est votée par les parlementaires marocains. Qu’en est-il ?
Elles se réveillent à l’aube et ne se couchent que très tard le soir. Elles ne dorment toujours que d’une oreille, prêtes à anticiper les besoins des membres de la famille dont elles ne font pas partie. Elles ont onze ans en moyenne.
Marrakech la ville symbole de la réussite du modèle touristique marocain est au centre d’un débat qui agite le Maroc au gré des découvertes et des scandales. Il s’agit bien sûr d’un tourisme moins honorable, le tourisme sexuel, appelé pudiquement « dégradation des mœurs ». Pour ouvrir le débat à notre tour, nous avons sollicité les internautes. Leurs avis sont à l’image du débat intermittent que connaît la société marocaine. Plus de 2800 personnes ont répondu.
Un poème écrit le 21 Mai 2003, suite aux attentats meurtiers de Casablanca du 16 Mai 2003