Pour l’économiste Taib Aisse, les pouvoirs publics au Maroc «ne s’intéressent pas au potentiel» du halal, alors que l’absence de certifications mondialement reconnues continuent d’empêcher le royaume et les pays musulmans à profiter de ce marché mondial.
Des experts ont affirmé, dimanche, que le halal serait en danger, suite à la récente instruction du ministère français de l’Agriculture et de l’alimentation. Pour eux, les industriels doivent saisir l’occasion pour aller vers un abattage sans électronarcose, qu’ils n’hésitent pas à pointer du doigt.
Parmi les pays les plus accueillants avec les touristes musulmans, la Malaisie, l’Indonésie et la Turquie occupent la première, deuxième et troisième place du classement. Le Maroc est, quant à lui, classé à la septième position.