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Melilia refuse de dépendre du commerce avec le Maroc

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Temps de lecture: 1'

«Nous sommes trop dépendants du commerce aux frontières et nous sommes à la merci du gouvernement marocain s'il veut créer des problèmes en fermant la frontière», juge Juan José Imbroda, président de la ville autonome de Melilia. Il s’est exprimé dans la série du journal « Razon» intitulée «Les mairies en débat». Le président de l’enclave espagnole a appelé le gouvernement espagnol à investir d’avantage à Melilia pour pallier cette dépendance.

Cette dernière sortie polémique de Juan José Imbroda intervient dans un double contexte. La ville de Melilia entretient des relations tendues avec le Maroc. Le 22 février dernier, le royaume avait menacé de fermer les frontières si l’Espagne persistait à refuser l’importation des matériaux de construction marocains à Melilia.

En parallèle, le président de Melilia est membre du Parti Populaire espagnol. Lorsqu’il fait reproche au gouvernement de baisser ses investissements, il s’en prend implicicitement à José Luis Rodiguez Zapatero en tant que membre du parti adverse : le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol.

zèle administratif
Auteur : Sipalamaimechose
Date : le 16 mars 2011 à 10h17
il ne faut pas fermer les frontières avec Melilia ni Ceuta, il faut faire du zèle administratif. il faut faire passer, 1 voiture ou 10 piétons toute les heures.
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