Le Maroc tente de rassurer les MRE menacés par l’échange bancaire automatisé avec l’OCDE

L'évasion fiscale est un fléau pour la France mais surtout pour le Maroc qui ne possède un système fiscale aussi efficace que le système français. Je ne vois donc pas de problème à un échange d'informations si on n'a rien à se reprocher, c'est à dire si on n'a pas au bled un business qui rapporte. La majorité des marocains ont un compte bancaire simple dans lequel ils déposent de l'argent durement gagné en France. Et c'est tout à fait légal, il faut juste le déclarer. Par contre, je plains les petits joueurs qui font du commerce au Maroc sans le déclarer et encore plus les fraudeurs marocains qui planquent leur argent en Europe et ne paie aucun impôt ou presque au Maroc. C'est la fin de la récré les amis.

Toutes les banques ont le même ADN ... Les aînées sont occidentales, les sœurs cadettes post-coloniales sont à bonne école. D'ailleurs avec les "privatisations" un cartel multinational bancaire aux intérêts "communs" s'est constitué au fil du temps. Il faut bien écouler les trop pleins de papier tirés sur les planches du Covid et exporter l'inflation afin de réduire les disponibilités et le volume circulant dans les pays sur-émetteurs en tentative de stabilisation des prix. "On" se félicite chez les mono-neurones de l'évolution des investissements étrangers qui signe un accroissement de la dépendance phagocytant les économies fragiles : du papier multicolore sonnant et trébuchant échangé contre des biens tangibles ...

Citation
mehdiamine à écrit:
Tu parles de l’Europe communiste à la big Brother. Au maroc le cash a encore un grand avenir.

Tu parles de l’Europe communiste à la big Brother. Au maroc le cash a encore un grand avenir.

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Blagueur* à écrit:
Dans le titre le mot central est "bancaire", les banques. Yep, ces intermédiaires entre les banques centrales et le public, celles qui ne parlent que de frais, d'agios et d'intérêts, de date de valeur et qui vampirisent tous les flux monétaires glissant du secret bancaire à l'inquisition, au blocage de fonds, celles aussi qui ont fait en sorte que même les ouvriers soient payés par chèques barrés non endossables au lieu de la traditionnelle paie en espèces à la semaine, à la quinzaine et au mois. Toujours aussi celles qui plafonnent les retraits au GAB, qui prétendent devoir être prévenues d'avance pour les mises à disposition en vue de retraits importants. Bref, celles qui ont les mains collantes, accumulant les sous au gré des échanges, des paiements, des mises à disposition. Aussi, celles qui prêtent agissant sur la demande et l'offre tout en offrant au public une inflation à terme. Celles qui traînent souvent les pieds lors d'une succession ou qui entretiennent des comptes non-mouvementés, réputés fermés, pendant des dizaines d'années, comptabilisant des intérêts sur des intérêts au taux de leur bon gré. Bref, les excès sont les ennemis du bien et engendrent des dérives qui vont du noir à la monnaie numérique, au bit-coin, au troc de monnaie en contrebande. Sécurité monétaire, patrimoniale, protection des données ...

Dans le titre le mot central est "bancaire", les banques. Yep, ces intermédiaires entre les banques centrales et le public, celles qui ne parlent que de frais, d'agios et d'intérêts, de date de valeur et qui vampirisent tous les flux monétaires glissant du secret bancaire à l'inquisition, au blocage de fonds, celles aussi qui ont fait en sorte que même les ouvriers soient payés par chèques barrés non endossables au lieu de la traditionnelle paie en espèces à la semaine, à la quinzaine et au mois. Toujours aussi celles qui plafonnent les retraits au GAB, qui prétendent devoir être prévenues d'avance pour les mises à disposition en vue de retraits importants. Bref, celles qui ont les mains collantes, accumulant les sous au gré des échanges, des paiements, des mises à disposition. Aussi, celles qui prêtent agissant sur la demande et l'offre tout en offrant au public une inflation à terme. Celles qui traînent souvent les pieds lors d'une succession ou qui entretiennent des comptes non-mouvementés, réputés fermés, pendant des dizaines d'années, comptabilisant des intérêts sur des intérêts au taux de leur bon gré. Bref, les excès sont les ennemis du bien et engendrent des dérives qui vont du noir à la monnaie numérique, au bit-coin, au troc de monnaie en contrebande. Sécurité monétaire, patrimoniale, protection des données ...

On oublie trop souvent que le Maroc aussi à des intérêts à voir les bien des marocains aisé qui sorte des sommes colossal pour acheter des appartements parisien. La demande est dans les 2 sens. Mais tous ca n est pas bon pour notre liberté. Bienvenue dans le communiste 2.0.

Une belle langue de bois et surtout : uniquement 20 secondes que le ministre a pris de son temps pour répondre ! Entre 21'45"" et 22'05 de la vidéo ! Bon, il nous dit "pour l'instant" faut pas s'inquiéter ! Le tout est dans "pour l'instant" .. Effectivement pour le moment le parlement n'a pas ratifié ce fameux accord.. Et les informations ne sont pas communiquées automatiquement .. Mais ceci n'empêche pas des enquêtes sauvages sur les biens des MRE.. Enquêtes diligentés par des autorité européennes et réalisées, en partie, par certains marocains sur place.. Peut-être que le législateur marocain a son mot à dire sur ces enquêtes sauvages..

Ils jouent avec le feu

Communication minable, floue et indigne vis à vis des MRE qui envoient des sommes colossales au Maroc sans avoir le droit de vote au Maroc, on se demande bien pourquoi.. On ne traite pas ainsi une vache à lait. La moindre des choses est que le Maroc protege via sa diplomatie les MRE et leurs avoirs. Sachant qu'ils n'ont rien à craindre car non double imposition à fortiori si le compte au Maroc est alimenté par des fonds qui ont deja acquitté l'impôt dans le pays hors Maroc. Par ailleurs, il faut pour le cas de la France declarer son compte bancaire au Maroc sans necessité d'en donner le montant. Sachant aussi que la loi fiscale en France reconnaît le droit à l'erreur pour ceux qui ne l'ont pas fait : https://www.impots.gouv.fr/professionnel/le-droit-lerreur-en-matiere-fiscale