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Breve

PAM, PI et PPS pour une intervention de l’Etat contre l’instrumentalisation de la pauvreté des Marocains

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La coordination entre le PAM, l’Istiqlal et PPS, contre le gouvernement se poursuit. Dans un communiqué conjoint, les trois formations pointent «l’incapacité apparente du gouvernement à mener les réformes nécessaires» et «son échec manifeste à faire face aux impacts économiques et sociaux de la pandémie». Les trois partis d'opposition invitent l’exécutif Et Othmani à prendre des mesures garantissant la «création d’un contexte positif, basé sur une ouverture politique et la sauvegarde des droits de l’Homme» à même de permettre aux Marocains de «se réconcilier aves la chose publique».

Ce qui devrait, soulignent-ils, «hausser le taux de participation» aux prochaines élections et «renforcer ainsi la crédibilité des institutions élues». Malgré ce plaidoyer, le PAM, l'Istiqlal et le PPS n’ont pas appelé ouvertement à la libération des détenus des mouvements de contestations populaires au Rif et Jerada et les journalistes emprisonnés pour des accusations de droit pénal.

Les trois partis préfèrent unir leurs voix pour condamner «l’instrumentalisation politiques des œuvres caritatives et solidaires». Une flèche décochée en direction du RNI et sa Fondation Joud, accusée de distribuer des paniers aux démunis à des fins électoralistes. Les trois formations d’opposition exhortent les autorités «à intervenir» pour mettre un terme à «un phénomène illégal qui recours à l'exploitation illégale et contraire à l'éthique des données personnelles des citoyennes et citoyens».

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