Les télés officielles marocaines peinent à couvrir les informations sur les violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf en images ou en photos. Un obstacle que Medi1TV a pu dépasser par le recours à des images d'archives et quelques photos de grafitis, le tout présenté comme une exclusivité. Décryptage.
En matière de liberté de la presse, le Maroc a du mal à évoluer. Le Royaume a été une nouvelle fois classé à la 136èmeposition par l’ONG Reporters sans frontières. L’affaire Anouzla a encore été citée comme l’une des raisons qui expliquent la position stagnante du Maroc. Même si des pays comme la Mauritanie, l’Algérie, l’Afghanistan et la Tunisie font mieux que
Une question «provoc», qui est souvent formulée par certains responsables ou même citoyens lambda pour empêcher tout élargissement de ce droit fondamental au Maroc. Après la percée des chaines satellitaires, le succès des licences octroyées pour des radios privées, l'ouverture ratée pour les chaines télés privées, le tsunami provoqué par le foisonnement des sites d'informations, blogs et
Ce n’est pas une nouvelle en soi, mais le rapport que vient de dévoiler une commission de la Chambre des représentants fournit des détails saillants. Selon le document, la structure des chaines de télévisions publiques marocaines «est aujourd’hui dépassée». 2M semble être la pire de toutes.
Inaccessible depuis plusieurs semaines au Maroc, le site d’actualité marocain Lakome.com pourrait bien refaire bientôt son apparition sur le web. Son directeur de publication, le journaliste Ali Anouzla, vient de déposer une demande officielle auprès de l’ANRT pour lever la censure dont il fait l’objet.
Les semaines à venir verront le début d’un procès qui devrait être très médiatisé. Le groupe Chaâbi vient de porter plainte contre des supports de la presse écrite (arabophone et francophone) pour avoir publié, à maintes reprises, des articles annonçant la faillite du milliardaire.