L'orientation politique en matière de lutte contre l'immigration clandestine décidée par l'Italie et le chef de l'exécutif, Silvio Berlusconi, s'inscrit pleinement dans la philosophie…européenne, largement influencée par la France et un certain Brice Hortefeux, alors ministre de l'immigration et de l'identité nationale. Les Marocains vivant en Italie sont les principales victimes de cette politique.
La censure qui a été ordonnée par l’Etat à l'encontre des titres de presse écrite TelQuel, Nichane (pendant arabophone de TelQuel) et du Monde avec la destruction de 100 000 exemplaires, au début du mois d’août 2009, pour avoir diffusé un sondage d’opinion sur la monarchie et les politiques publiques initiées par le Souverain lors des 10 dernières années, a pris des allures de règlements de compte où une pléiade d’acteurs ont décidé d’en découdre.
C’est ce qui a été retenu d’une déclaration de Christopher Ross. L’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU en charge du dossier du Sahara Occidental a affirmé hier, dans un point de presse tenue à l’issue de la rencontre de Dunrstein, que le Maroc et le Polisario ont exprimé leur «engagement à poursuivre les négociations dès que possible» vers une solution
Le gouvernement marocain et les représentants du Polisario sont actuellement en conclave à Vienne, dans la capitale autrichienne, a-t-on appris d’une déclaration d’un porte-parole de l’ONU auprès de la MAP. Cette rencontre informelle entre dans le cadre de la préparation du 5ème round des négociations en cours entre les deux parties pour trouver une solution politique et définitive au problème du Sahara.
Après Manhasset, dont le quatrième round s'est tenu les 18 et 19 mars 2008, le Maroc et le Polisario se retrouveront bientôt autour de la table des négociations sur la question du Sahara. Une rencontre informelle entre le gouvernement marocain et les représentants du Front Polisario est prévue à partir du 9 août en Autriche, a indiqué le samedi 1er août à l’AFP, le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos en visite de travail à Tanger.
La presse nationale et internationale s’étale sur le bilan des dix ans du règne de Mohammed VI depuis quelques semaines. Politique, économie, grands projets, nouveau code de la famille, liberté de la presse etc… tout y passe. Néanmoins, un pan important de la politique du nouveau roi est oublié : la relation du Maroc avec les Marocains résidant à l’étranger (MRE). Cette communauté représente 10% de la population marocaine et la deuxième source de devises pour l’économie
Le roi Mohammed VI a reçu ce mercredi 29 juillet dans la résidence royale à Al Hoceima, les nouveaux membres de l’exécutif qu’il a nommés, apprend-t-on auprès de la MAP. Il s’agit d’un ministre d’Etat, deux ministres et un secrétaire d’Etat.
Depuis des semaines, des titres de presse nationaux et internationaux font le «bilan» du Maroc sous la gouvernance du Roi Mohammed VI. Chacun y va de sa plume (ou de sa caméra) pour mettre en relief les «plus» et les «moins» du Royaume sur la base de la décennie qui vient de s’écouler.
Au lendemain des résultats des élections communales 2009, de nombreux observateurs spéculaient sur un éventuel remaniement ministériel avec une (légère) modification apportée à l’équipe gouvernementale regroupée autour du 1er ministre Abbas El Fassi.
C’est quasi officiel ! Hassan Abouayoub, actuel Ambassadeur itinérant auprès du Roi Mohammed VI va remplacer Nabil Benabdellah, à la fonction de Ambassadeur du Maroc en Italie.