Le jeûne de ramadan arrive, accompagné comme de coutume par son festin de séries télévisées, avec cette année une super-giga-méga production sobrement intitulée, du nom du second calife, Omar (Ibn al-Khattâb). Présentée dans un clip de promotion (voir ci-dessous, il sera commenté la prochaine fois) sous le slogan «Ramadan nous rassemble», la série a été financée
Moins de deux semaines avant le coup d’envoi des JO et la capitale britannique baigne déjà dans une ambiance très olympique. Seul hic, la compétition internationale coïncide cette année avec le ramadan. Pour les athlètes musulmans, la question se pose : jeûner ou ne pas jeûner ?
Dans la majorité des pays du monde, le début du ramadan commencera le 20 ou le 21 juillet, selon la méthode utilisée, puisque la «nuit du doute» tombe jeudi 19 juillet. En France et au Maroc, la décision est prise sur l’observation du ciel par les institutions musulmanes nationales. Cependant, la France pourrait, dans les années à venir, se convertir à la méthode astronomique par calculs.
Si le Ramadan risque une nouvelle fois d'en coûter cher aux inconditionnels de l’identité nationale française, il risque aussi et surtout de rapporter gros aux chaines de distribution de l'hexagone. 350 millions d’euros pour être précis. Ce chiffre, révélé par le cabinet de marketing Solis dans le cadre de sa dernière étude prospective, fait évidemment saliver les hypermarchés qui n’ont pas
Face à la polémique grandissante liée à la décision d’un tribunal de Cologne d’interdire la circoncision religieuse, Berlin est montée pour une première fois au créneau hier, afin de calmer les esprits. Estimant qu’il était «urgent de rétablir un climat juridique pacifié», la chancellerie allemande a assuré être pour «la protection des libertés religieuses»
En proie à des querelles intestines et des luttes d’influence depuis de nombreuses années, le Conseil français du culte musulman (CFCM) vient de subir un gros revers ce mercredi avec la démission de la Grande Mosquée de Paris (GMP) de son bureau exécutif. Une démission aussi inattendue que brutale et qui risque, contrairement aux effets escomptés, de ralentir une fois de plus le processus de réforme des instances musulmanes