Les ministres de l’Intérieur marocain et espagnol ont tenu mercredi à Tétouan une réunion d'urgence pour revenir sur divers sujets qui interpellent les autorités des deux pays. Trois dossiers ont été au coeur des discussions : terrorisme, immigration et trafic de drogue. Détails.
Le 10 juillet, le ministre de l’Intérieur reconnaissait, lors d’un exposé présenté devant les membres du gouvernement, qu’une menace terroriste sérieuse guette le Maroc, précisant qu’elle émane des combattants marocains en Syrie et en Irak. Depuis, le pays est en alerte. Aujourd’hui, une cellule de recrutement de djihadistes pour le compte de l’Etat islamique vient d’être
Dans un rapport publié ce lundi, Human Rights Watch dénonce la violation des droits de l’homme dans les poursuites judiciaires américaines liées au terrorisme. Selon l’ONG américaine, le FBI aurait «encouragé, poussé et parfois même payé» des musulmans américains pour les inciter à commettre des attentats. Des exemples à l’appui. Détails.
Après les détails donnés par le ministre de l'Intérieur sur la menace jihadiste pesant sur le Maroc, deux spécialistes de cette question relativisent le danger. Si les jihadistes marocains sont plus nombreux que jamais, les objectifs des mouvements auxquels ils appartiennent ne se situent pas au Maroc.
Au fil des jours, le danger terroriste au Maroc augmente. L’attaque, survenue ce mercredi, contre deux points de l’armée tunisienne participe amplement à ce contexte. Le ministre tunisien de la Défense a averti le Maroc contre des projets visant sa sécurité. Dans le pays de la révolution du jasmin, plusieurs jihadistes marocains qui ont quitté le front tunisien ont élu domicile chez l’organisation salafiste Ansar Al
L’Etat islamique compte 2000 jihadistes européens d’origine marocaine. Un chiffre révélé, hier, par le ministre de l’Intérieur. Quant aux "nationaux", ils sont 1122. Parmi eux, certains qui occupent de hautes responsabilités au sein de l’appareil de l’EI alors que d’autres sont destinés à mener des opérations suicides.