Né en 1877, au centre de la France, Jean Épinat saura construire, plus tard, au Maroc sous le protectorat français, un empire économique. Il s’appuie, en cela, sur le pacha Glaoui et le résidant général Hubert Lyautey, entre autres, pour étendre son conglomérat économique.
Contrairement à l’assassinat de Mehdi Ben Barka, le décès du général Dlimi suscite peu d’intérêt. En vue de renverser cette tendance, le neveu de Dlimi avance en 2015 que la mort de son oncle aurait été encouragée par Washington, apparemment très méfiante de la proximité entre l’ancien n°2 des FAR et la France de Mitterrand.
Si les Marocains d’aujourd’hui se rappellent encore de la grande famine de 1940-1947, le Royaume a connu de nombreuses catastrophes naturelles et épidémies. Plusieurs historiens remontent le temps pour évoquer les premières «colères de mère nature» en 1493 où famine et maladies contagieuses faisaient ravages au sein de la population.
A travers les écrits ou sur le terrain, l’histoire des civilisations ayant régné au Maghreb reste traçable, à l’exception d’un Etat qui a gouverné une grande partie du Maroc, pendant quatre siècles. C’est le Royaume des Berghouatas, né sous les Omeyyades et ayant cohabité avec les Idrissides. Histoire d’une dynastie qui a eu son propre prophète et son propre coran.
Réunis à Casablanca en 1943 pour élaborer la stratégie qui ferait tomber les puissances de l’Axe, Churchill et Roosevelt n’ont pas manqué d’apprécier leur séjour au Maroc.
L'hôtel Cecil, connu pour avoir été une destination de choix pour les familles royales européennes, va être rénové. L’établissement hôtelier construit dans les années 1860 et ayant été visitée par des personnalités politiques nationales et internationales de renom était devenu un bâtiment en ruine.
Alors que le monde arabe est en ébullition suite au déclenchement de la toute première intifada du peuple palestinien, des étudiants du campus universitaire Dhar Mahraz décident de manifester mercredi 20 janvier 1988 malgré les avertissements du roi Hassan II. Le rassemblement est violemment réprimé : l’affrontement fait deux morts, Zoubida Khalifa et Adil Ajraoui, ainsi qu’un blessé. Ce dernier rapporte aujourd'hui
Le 19 janvier 1984, des milliers de Marocains sont descendus dans les rues, en particulier dans les villes d'Al Hoceima, Tétouan, Ksar El Kébir et même à Marrakech en raison de la cherté de la vie et la situation économique du pays. Mais la répression sévère des forces de l’ordre engendrera de violentes émeutes, causant ainsi des dizaines de morts et des centaines de détenus.
Le 18 janvier 1957, le gouverneur de Tafilalet Addi Ou Bihi marque l’histoire du Maroc en décidant de se révolter contre l’administration, contrôlée à l’époque par les militants du Parti de l’Istiqlal, alors que le royaume venait de décrocher son indépendance. Un fait historique et plusieurs versions racontent cette «rébellion berbère». L’une d’elles dénonce une
Dans les années 1980, en pleine guerre du Sahara, le Maroc n’hésitait pas à répondre fermement à toute agression, surtout dans les eaux de la province. Le 17 janvier 1980, les Forces royales Air (FRA) tiraient même sur le destroyer espagnol Almirante Ferrándiz (D22), qui se trouvait entre Dakhla et les Îles Canaries.